La Fédération algérienne de football (FAF) a tenté, sans succès, de convaincre Zinédine Zidane de prendre les rênes de l’équipe nationale après la décevante performance à la CAN-2023. Malgré le refus poli du triple champion d’Europe avec le Real Madrid, plusieurs estiment que cette opportunité aurait été bénéfique pour sa carrière.
Retour aux racines et attachement à l’Algérie
Dès la fin de sa carrière de joueur, Zinédine Zidane a manifesté un profond attachement à l’Algérie, pays d’origine de ses parents. La proposition de la FAF aurait été une chance pour lui de « renouer avec ses origines » et de consolider son lien affectif avec le pays où il est immensément populaire.
Les raisons du refus pragmatique
Cependant, Zidane a décliné l’offre en raison de diverses considérations pragmatiques. La FAF est critiquée pour sa faiblesse, son instabilité, et son amateurisme. De plus, des supporters difficiles, des infrastructures sportives aléatoires et un championnat moribond ont été des points de réflexion pour l’entraîneur.
Zinédine Zidane : Un rêve français à long terme
Zidane, aspirant à entraîner l’équipe de France, sait que cette opportunité ne se présentera pas avant 2026, après la prolongation du contrat de Didier Deschamps. Onze Mondial souligne la possibilité pour Zinédine Zidane de réaliser des exploits majeurs avec la « génération dorée » de jeunes joueurs de l’équipe algérienne.
Les perspectives optimistes avec les Verts
Avec des talents Algériens émergents tels que Farès Chaïbi, Rayan Aït-Nouri, Mohammed Amoura, Hicham Boudaoui, Ramiz Zerrouki, Yasser Larouci, et Amine Gouiri, Zidane aurait eu l’opportunité de briller lors de la Coupe d’Afrique des nations 2025 au Maroc et la Coupe du Monde 2026, que l’Algérie semble bien placée pour atteindre. Malgré les avantages potentiels, Zinédine Zidane a décidé de ne pas accepter le défi algérien.