Nonobstant l’impact positif de l’arrivée de Vladimir Petkovic sur le banc algérien, il n’en demeure pas moins qu’il reste des choses à corriger.
Une défense mal en point : Vladimir Petkovic appelé à rectifier le tir
D’entrée de jeu, il faut souligner que la défense algérienne est très perméable. En témoigne les nombreux buts encaissés (5) lors des deux derniers matchs amicaux. Les premiers appelés à la tables des accusés sont les défenseurs centraux,Aissa Mandi et Mohamed-Amine Madani. Cependant, il s’agit en réalité d’un problème plus profond, marqué par un défaut de soutien défensif global de la part de l’équipe. Le nouvel entraineur est très attendu sur ce chantier, qui se révèle être d’une urgence.
Le flanc gauche priorisé au détriment de celui droit
Les esprits avertis l’auraient certainement remarqué! Le jeu algérien est déséquilibré. Le flanc gauche occupé par un certain Yacine Brahimi, est beaucoup plus priorisé, au détriment du flanc droit. Un état de chose qui répercute sur la fluidité du jeu, et constitue également une faiblesse dont peuvent se servir les adversaires, pour rendre la tâche ardue aux Fennecs. Là encore, Petkovic est appelé à intervenir d’urgence, afin que l’on assiste désormais à une distribution équilibrée de la balle sur le terrain.
Un milieu de terrain désorganisé
L’autre problème de l’Algérie, est son milieu de terrain, qui donne l’impression de manquer de repère. Le milieu de terrain semble avoir du mal à coordonner les transitions de jeu, passant du défensif à l’offensif. Étant donné le rôle crucial du milieu de terrain, il est également du devoir de Petkovic, de solutionner à ce problème pressant.