Dans un discours sans équivoque, Marion Maréchal, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen et candidate du parti d’Eric Zemmour aux élections européennes, a vigoureusement exprimé son désaccord quant à l’idée de voir le Ramadan devenir une célébration ancrée dans la culture française, similaire à Noël ou à Pâques. Lors de son passage remarqué dans l’émission « Touche pas à mon poste ! », elle a souligné son opposition à la promotion de cette tradition religieuse dans l’espace public.
Les réserves de Marion Maréchal
:focal(1762x1183:1772x1173)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/2RNSNKMROVA4HEO25HME4RPJQQ.jpg "Ramadan en France : Marion Maréchal s'oppose à son intégration comme fête nationale 2")
Dans une société où le Ramadan est devenu une pratique répandue, Marion Maréchal a émis des réserves quant à son omniprésence en France. Elle a dénoncé le fait que cette fête islamique serve de « baromètre » à l’islamisation de la société française, pointant du doigt la diffusion d’émissions télévisées spéciales et la publicité commerciale qui l’accompagne.
Limite de l’exposition publique du Ramadan
Marion Maréchal a exposé son point de vue sur la nécessité de limiter l’exposition publique du mois de jeûne, mettant en avant les conséquences néfastes de cette présence accrue. Elle a notamment évoqué les tensions dans certains quartiers et écoles, où une « pression de cette charia alimentaire » s’exerce, entraînant parfois des agressions envers ceux qui ne respectent pas les restrictions du Ramadan.
Illustration par des incidents passés
La candidate du parti d’Eric Zemmour a illustré son argumentation en rappelant des incidents regrettables survenus par le passé, tels que le lynchage d’un jeune de 13 ans pour avoir mangé une sucette en plein Ramadan, ou encore des agressions envers des individus ayant enfreint les règles du jeûne.
Respect des pratiques religieuses dans le cadre privé
Toutefois, Marion Maréchal a précisé que sa critique se limite à la sphère publique, affirmant respecter les pratiques religieuses des individus dans le cadre privé. Elle a souligné que son opposition à la promotion du Ramadan dans l’espace public découle de sa volonté de préserver une identité culturelle et une tradition française qu’elle estime menacées.
l’opposition ferme de Marion Maréchal
En définitive, le discours de Marion Maréchal met en lumière son opposition farouche à l’idée que le Ramadan devienne une fête inscrite dans la culture française, soulignant les préoccupations qu’elle nourrit quant à l’impact sociétal et culturel de cette tradition religieuse lorsqu’elle est trop présente dans l’espace public.
