La polémique enfle en Algérie alors que des informations révèlent que Djamel Belmadi aurait signé son contrat avec son passeport français pour éviter le Square Port Said. Les explications du consultant Faycel Maataoui soulignent les implications légales de cette démarche. La Fédération algérienne de football est appelée à la logique dans le choix du nouveau sélectionneur.
La polémique entourant Djamel Belmadi prend de l’ampleur en Algérie, avec des révélations selon lesquelles le sélectionneur aurait signé son contrat avec l’équipe d’Algérie en utilisant son passeport français. Faycel Maataoui, consultant, a apporté des explications sur cette controverse.
L’énorme révélation sur la signature du contrat de Belmadi
Selon Maataoui, Belmadi aurait choisi son passeport français pour éviter le Square Port Said d’Alger, où il aurait dû se ravitailler en dollars ou en euros, monnaies différentes de celle utilisée au Qatar, où il réside. La résidence au Qatar et l’utilisation de ses papiers français auraient permis d’éviter toute illégalité.
Lors de son intronisation à la FAF, le président Walid Sadi avait clarifié la rémunération de Belmadi, soulignant qu’elle était équivalente au travail fourni à la tête de la sélection. Cependant, les détails financiers exacts n’ont pas été divulgués.
Dans un autre contexte, Maataoui appelle la FAF à faire preuve de logique dans le choix du nouveau sélectionneur pour succéder à Belmadi. La controverse autour du contrat souligne l’importance des aspects légaux et financiers dans le football international, et les attentes de transparence de la part des instances dirigeantes.