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Farid Bencheikh limogé : La chute d’un pilier du pouvoir Algérien révélée

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Plongez dans les scandales, les défaillances sécuritaires et les affaires troubles ayant conduit au limogeage de Farid Bencheikh, ex-patron de la Police Algérienne. Découvrez les détails  sur la chute d’un poids lourd du pouvoir en Algérie dans cette édition.

La Fin d’une Ère à la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN)

Le 8 janvier 2024 restera gravé dans l’histoire de l’Algérie, marquant la fin d’une ère à la DGSN avec le limogeage officiel de Farid Bencheikh. Autrefois considéré comme un pilier de la Police Algérienne, sa déchéance a été actée lors d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, qui a également officiellement installé Ali Badaoui en tant que nouveau Directeur général.

Les Scandales et Défaillances qui Ont Conduit à la Chute de Farid Bencheikh

La chute de Farid Bencheikh ne résulte pas uniquement d’un événement isolé. Les défaillances dans la sécurité aéroportuaire, révélées à travers des infiltrations d’harragas dans les avions d’Air Algérie, ont agi comme des pièces d’un puzzle complexe. Trois incidents dramatiques entre mars 2022 et décembre 2023, dans les aéroports d’Alger, Constantine et Oran, ont dévoilé des lacunes inacceptables dans le dispositif sécuritaire de la DGSN.

Le Scandale de l’Intrusion à Oran : Un Tournant Déterminant

Le 28 décembre 2023, un jeune a réussi à s’introduire dans un avion d’Air Algérie à Oran, déclenchant une série d’événements qui ont mené à la chute de Bencheikh. La justice algérienne a réagi avec fermeté en inculpant officiellement 10 responsables de la DGSN dans cette affaire. Un juge d’instruction a ordonné le placement en détention provisoire de ces officiers et agents de police, soulignant la responsabilité directe de Bencheikh dans cette défaillance sécuritaire majeure.

La Corruption et les Affaires Troublantes Entourant Farid Bencheikh

Le scandale ne se limite pas aux questions de sécurité. Les révélations de Algérie Part, datant d’une année précédente, ont exposé une face sombre de Farid Bencheikh. Accumulation de fortune en France, placements financiers dans un restaurant hôtel en région parisienne, et même un mariage blanc pour obtenir une résidence en France. Ces pratiques douteuses ont été dévoilées, mais Bencheikh est resté en poste, illustrant une impunité qui a finalement pris fin avec les défaillances répétées dans le contrôle des aéroports.

Les Développements Imminents : Intrigues et Justice

Le limogeage de Farid Bencheikh était imminent, accentué par les récents développements liés à l’intrusion à Oran. La décision de justice de placer 10 responsables de la DGSN en détention provisoire dans cette affaire souligne une réaction ferme face aux défaillances sécuritaires. Les enquêtes approfondies mettent en lumière l’implication personnelle de Bencheikh et son incapacité à gérer adéquatement l’une des institutions sécuritaires les plus sensibles de l’État algérien.

 Le Nouveau Directeur Général : Ali Badaoui et les Défis à Relever

 Le Nouveau Directeur Général : Ali Badaoui
Le Nouveau Directeur Général : Ali Badaoui

Le nouveau Directeur général, Ali Badaoui, hérite d’une situation délicate. Ancien Directeur de la Police aux frontières (PAF), il prend maintenant les rênes de la DGSN dans un contexte tendu. Les scandales passés ont mis en lumière des lacunes criantes, et sa nomination suscite des interrogations sur sa capacité à redresser la barre de la sécurité nationale.

L’État de la Police Algérienne : Un Bilan Critique

Au-delà du cas individuel de Bencheikh, l’état de la Police Algérienne est examiné de manière critique. Trois incidents majeurs en moins de deux ans révèlent des failles systémiques. La question de la responsabilité et de la réforme au sein de la DGSN devient cruciale pour restaurer la confiance du public.

Synthèse

La disgrâce de Farid Bencheikh, ancien patron de la Police Algérienne, se dévoile dans un récit complexe de 1400 mots. Son éviction officielle le 8 janvier 2024 de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) marque la fin d’une ère. La cérémonie, présidée par Brahim Merad, ministre de l’Intérieur, a également intronisé Ali Badaoui comme nouveau Directeur général.

La chute de Bencheikh n’est pas le fruit d’un incident isolé, mais plutôt le résultat de défaillances répétées dans la sécurité aéroportuaire. Trois incidents majeurs entre mars 2022 et décembre 2023, à Alger, Constantine et Oran, ont exposé des lacunes inacceptables dans le dispositif de la DGSN. L’intrusion d’un jeune dans un avion d’Air Algérie à Oran le 28 décembre 2023 a été le déclencheur, entraînant l’inculpation de 10 responsables de la DGSN et soulignant la responsabilité directe de Bencheikh dans cette défaillance majeure.

Le scandale ne s’arrête pas là. Algérie Part avait révélé, il y a un an, la face cachée de Bencheikh. Accumulation de richesses en France, placements financiers dans un restaurant hôtel en région parisienne, et même un mariage blanc pour obtenir une résidence en France. Ces pratiques douteuses ont été exposées, mais Bencheikh est resté en poste, illustrant une impunité controversée qui a finalement pris fin avec les défaillances répétées dans le contrôle des aéroports.

Les développements récents, accentués par l’intrusion à Oran, ont précipité le limogeage imminent de Bencheikh. La justice a réagi vigoureusement en plaçant 10 responsables de la DGSN en détention provisoire. Les enquêtes approfondies mettent en évidence l’incapacité de Bencheikh à gérer adéquatement l’une des institutions sécuritaires les plus sensibles de l’État algérien.

Le successeur, Ali Badaoui, hérite d’un défi colossal. Ancien Directeur de la Police aux frontières (PAF), il doit redresser la barre de la DGSN dans un contexte tendu. Les scandales passés ont révélé des lacunes criantes, soulevant des questions sur sa capacité à restaurer la confiance du public en matière de sécurité nationale.

Au-delà du cas individuel de Bencheikh, ce récit critique l’état général de la Police Algérienne. Trois incidents majeurs en moins de deux ans révèlent des failles systémiques. La responsabilité et la nécessité de réformes au sein de la DGSN deviennent cruciales pour rétablir la confiance du public dans une institution autrefois considérée comme un rempart de la sécurité nationale.

1 COMMENTAIRE

  1. Ce connard est un espion de la France delà CIA et d’Israël, ce connard est l’ami intime de merari patron d’une cellule du contre espionnage d’Israël et depuis 3 ans il se payait de la la tête de notre intelligent Tebboune et son ami chingriha grand chef militaire des soldats de plombs qu’on a en Algérie, voilà comment fonctionne notre Algérie la doula adhamia en plus ils étaient sur de combattre Israël et même la gagné,fonfaronade algérienne ,moi je leurs conseils buvez encore leben et mangeaient des poids chiches et surtout laissez vos ventres Fabriqués du gaz vous en avez besoin et surtout continuez a fabriquer du gaz, vous a besoin.

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