Une tendance alarmante s’est rapidement dessinée depuis que les voiture Fiat ont fait leurs entrées sur le marché algérien. En effet, il y a certains particuliers qui a achètent les véhicule pour revendre sur internet, en réalisant des marges exorbitantes.
Il suffit simplement de comparer les prix initiaux des voitures Fiat aux prix affichés sur les plateformes de vente en ligne. Vous constaterez que Les Fiat 500 Dolce VITA, initialement vendues à 2 665 000 dinars algériens, se négocient désormais à 350 millions de dinars. En ce qui concerne les Fiat Tipo, leur prix est passé de 2 995 000 à 435 millions de dinars. Il est donc claire que les bénéfices réalisées par ces revendeurs indépendants sont tout simplement énorme. Sans doute que cette flambée des prix pose question. D’une part, elle révèle une opportunité d’affaires pour des individus peu scrupuleux. Tandis que d’autre part, elle met en évidence une inadéquation entre l’offre et la demande qui favorise une spéculation effrénée. Ainsi donc devant cette situation le « Himayatek », qui est l’organisation algérienne pour la défense du consommateur, a réagi. Dans une publication sur leur page Facebook. Ils ont dénoncé cette pratique en disant : « Certains prix des voitures sur le marché directement après leur réception ».