Il faut noter que c’est le model d’IA de l’Alan Turing Institute, situé à Londres, qui prédit les résultats des matchs de cette coupe du monde . Et pour y arrivé, les chercheurs ont utilisé l’ensemble des datas compilées par l’utilisateur de GitHub martj42. Celle-ci présente qui présente les résultats et les statistiques de chaque match international et ceux depuis les années 1800. « Dans nos données d’entraînement, nous donnons le plus d’importance aux matchs de la Coupe du monde, suivent les tournois continentaux, les qualifications et les matchs amicaux. Nous faisons aussi en sorte que les matches récents aient la primeur. Enfin, nous intégrons également les classements officiels de la FIFA dans notre modèle afin de fournir une estimation actualisée des performances des équipes », a souligné l’équipe de l’Alan Turing Institute via un communiqué de presse. Aussi selon la team de l’Alan Turing Institute pour cette Coupe du monde après 100’000 simulations, « Le Brésil est le grand favori, avec environ 25 % de chances de gagner, tandis que la Belgique et l’Argentine sont également très bien notées ».
Après le Brésil, les chercheurs ont estimé que les pays les plus susceptibles de remporter la Coupe du monde, selon l’ordre sont la Belgique est 2e, l’Argentine 3e, la France 4e et l’Angleterre 5e. L’Espagne vient ensuite, suivie des Pays-Bas, du Danemark, du Portugal et de la Croatie. Mais apparement les resultats des Huitième de finale de cette coupe du monde ont carmement chamboulé la donne. Et oui l’intelligence artificielle a oublié que le foot ne soit pas une « science exacte » et qu’une occasion ratée dans un match peut tout changer. La preuve la grande Nation comme La Belgique, classée 2e par cette intelligence artificielle, est sortie au premier tour du mondial ; après une defaite historique infligé par le Maroc. Il faut également signaler que Ces même Lions de l’Atlas ont fait sortir l’Espagne, battue aux tirs au but. Le Danemark égalment n’a pas prouvé grande chose dans cette coupe du monde.
Bref le mieux que l’on puisse dire c’est que cette coupe du monde réserve comme les précédentes son lot de surprise peu prédictible par l’intelligence artificielle