À quelques jours du bac 2025, le ministère de la Jeunesse frappe fort : tous les foyers de jeunes du pays seront ouverts gratuitement aux candidats. Une mesure inédite qui suscite admiration et débat.
Un choc national : les foyers de jeunes ouverts pour les candidats au bac 2025
C’est une annonce qui secoue l’opinion publique et fait réagir jusqu’aux coins les plus reculés du pays. À l’approche du bac 2025, prévu du 15 au 19 juin, le ministère de la Jeunesse a lancé une initiative inattendue : toutes les maisons et foyers de jeunes du territoire seront accessibles gratuitement aux élèves. Objectif ? Leur offrir un lieu de repos, d’hydratation et de concentration entre les épreuves du matin et celles de l’après-midi.
Une mesure exceptionnelle, ordonnée par Mustapha Haïdaoui, ministre de la Jeunesse, qui place la jeunesse au centre des préoccupations nationales. Qu’ils soient internes, externes ou issus de zones reculées, les candidats bénéficieront d’un environnement encadré pour souffler, loin du stress.
Un filet de sécurité inédit pour des milliers d’élèves
Derrière ce geste fort se cache une véritable mobilisation nationale. Les structures locales, directions de la jeunesse et autorités des wilayas sont sur le pont pour assurer hygiène, sécurité et accompagnement psychologique.
Ces lieux, souvent ignorés ou sous-exploités, retrouvent un rôle citoyen central. Ils serviront même d’abri temporaire aux élèves qui ne peuvent pas rentrer chez eux entre deux épreuves. L’État entend ainsi garantir l’égalité des chances, en éliminant les écarts logistiques et sociaux entre les candidats.
Parents soulagés, société mobilisée : la jeunesse au cœur du projet national
Le geste ne passe pas inaperçu. De nombreux parents saluent cette décision qu’ils considèrent comme un soutien moral puissant face à un bac 2025 annoncée particulièrement exigeante.
Entre pression, fatigue et enjeux d’avenir, les candidats au bac trouvent là une bouffée d’oxygène bienvenue, qui s’ajoute aux efforts éducatifs déployés depuis des mois. La jeunesse, souvent reléguée au second plan, est aujourd’hui placée au centre de l’agenda gouvernemental. Et cela, c’est un message fort.