Le film Barbie déclenche une controverse en Afrique, suscitant des interdictions dans plusieurs pays. Après l’Algérie, le Cameroun a également banni le film pour des raisons morales, entraînant un débat sur la censure et les valeurs culturelles.
Le Liban a été l’un des premiers pays à interdire Barbie, arguant qu’il promeut l’homosexualité et va à l’encontre des valeurs religieuses et familiales.
Au Koweït, le film est critiqué pour véhiculer des idées jugées inacceptables par le président du comité de censure local.
En Algérie, les autorités estiment que le film promeut des déviances occidentales et ne respecte pas les croyances religieuses et culturelles.
Au Cameroun, le film a été en salles pendant plus d’un mois avant d’être interdit. Les responsables camrounais ont invoqué des valeurs inappropriées pour les jeunes.
Cependant, cette interdiction suscite la controverse, certains affirmant que le film ne promeut pas l’homosexualité et ne contrevient pas aux normes locales. Cette affaire soulève des questions complexes sur la censure, les valeurs culturelles et la liberté d’expression, alimentant un débat en cours sur le rôle du film dans la société contemporaine.