Sous le règne de Hamza Benhamouda, les nominations partisanes continuent de dicter les destinées de la compagnie nationale Air Algérie . Mais à quel prix ? Alors que les changements s’opèrent aux postes clés, la sécurité des vols est-elle reléguée au second plan ? Une analyse impitoyable des conséquences potentiellement catastrophiques de cette politique de favoritisme.
Gestion opaque : Risques accrus dans les airs
Hamza Benhamouda, le nouveau visage à la barre d’Air Algérie depuis sa nomination le 7 février dernier, orchestre une réorganisation stratégique au sein de la direction générale de la compagnie aérienne nationale, plaçant méticuleusement ses pions aux positions clés.
Alors que plus d’un mois s’est écoulé depuis son arrivée, le nouveau capitaine aérien a priorisé la constitution d’une équipe solide, façonnée selon sa vision et ses ambitions.
Des postes clés pour des fidèles
Selon les informations relayées par le site spécialisé Visas & Voyages, Hamza Benhamouda a récemment pris des décisions majeures en nommant de nouveaux responsables à la tête de plusieurs départements cruciaux, dont l’administration centrale et la communication.
Il semble que Benhamouda, avec détermination, s’attelle à écarter les figures clés du précédent régime dirigé par Yacine Benslimane.
Le premier coup de balai a touché la division en charge de la maintenance et de la réparation des avions (DRMA), une unité essentielle au bon fonctionnement opérationnel d’Air Algérie.
Air Algérie : Les conséquences possiblement catastrophiques
Cette division joue un rôle crucial dans la planification des vols de la compagnie, mais depuis l’arrivée de Hamza Benhamouda, certains vols ont été affectés par des retards substantiels, sans que la compagnie ne fournisse d’explications claires à ses clients.
En outre, des inquiétudes subsistent quant à la disparition inexplicable de certaines liaisons dans la plateforme de réservation, telles que Alger – Johannesburg et Alger – Vienne. Les passagers rencontrent également des difficultés à obtenir des billets pendant la saison creuse, tandis que les tarifs jugés prohibitifs suscitent des récriminations sur les réseaux sociaux.
Le dimanche dernier, il a désigné Bouzghaia Abdelaziz pour prendre les rênes de l’administration centrale de la compagnie aérienne nationale, en remplacement d’Ait Abdelmalek Sofiane, selon les sources concordantes.
Par ailleurs, Amine Andaloussi a été évincé de son poste de directeur de la communication au sein d’Air Algérie, pour être nommé à la tête de la direction de la marque commerciale.
Cette décision soulève des interrogations quant aux objectifs de Benhamouda en matière de communication, d’autant plus qu’Amine Andaloussi, reconnu pour son travail exemplaire auprès des médias dans l’amélioration de l’image d’Air Algérie auprès du public, semble avoir été déplacé stratégiquement.
En plus des changements au sein de l’administration centrale et de la communication, Hamza Benhamouda a également procédé à des ajustements à la tête des départements de l’exploitation, des relations clients, du revenu management et du centre de contrôle d’exploitation. Même la division commerciale de la compagnie aérienne nationale n’a pas été épargnée par cette vaste restructuration : Amiar Yacine a cédé sa place à Souad Bedjaoui.
Tant que l’Algérie fonctionne de cette manière elle ne changera jamais, les algériens ont un microbe de plusieurs souches dans le sang, le mensonge, la vantardise, la corruption,le vol, les magouilles et le trafic, ces microbes font du tord au peuple, avant de faire et de dire n’importe quoi,il faut soigner le peuple des ces maladies et peut être la on dira il faut et que ça marche et l’exemple doit venir d’en haut, quand on a un président de la république qui ne donne pas l’exemple et qui passe le temps a placer ses amis ou les amis de sa famille en leurs offrant des places sans connaissances comment voulez vous que le peuple suite.