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« Le Parisien » écorche Youcef Atal en évoquant son éducation limitée

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Youcef Atal, le défenseur algérien de l’OGC Nice, fait l’objet d’une enquête pour « apologie du terrorisme » après avoir partagé une vidéo controversée. Cependant, un article du Parisien suscite la controverse en décrivant sa carrière et son passé de manière jugée insultante. Détails ici.

Le défenseur algérien de l’OGC Nice, Youcef Atal, est au centre d’une controverse en France suite à la publication d’une vidéo controversée sur son compte Instagram. L’affaire a conduit à une enquête judiciaire du parquet de Nice pour « apologie du terrorisme » et « provocation publique à la haine ». Cette situation a également entraîné des critiques de personnalités politiques et de certains médias français.

L’un de ces médias, le journal à grand tirage Le Parisien, a publié un article intitulé « Atal, un dérapage anti-israélien puis des excuses », qui a été largement critiqué par de nombreux lecteurs en France et en Algérie. L’article décrit la carrière de Youcef Atal depuis ses débuts en Algérie jusqu’à son arrivée à Nice, mais il est truffé de clichés jugés insultants.

L’auteur de l’article disculpe Youcef Atal de toute intention prosélyte, mais il se permet de mettre en doute le niveau intellectuel du joueur. Il cite l’entourage du club niçois en disant que Atal « n’a pas reçu une grande éducation ». L’article mentionne également son enfance dans les montagnes de Kabylie et les quartiers de Tizi-Ouzou, le décrivant comme « un gamin qui a grandi dans les montagnes de Kabylie et les quartiers de Tizi-Ouzou ».

L’auteur suggère que c’est en courant au milieu des chèvres que Atal a développé sa résistance physique, l’une de ses forces sur le terrain. De plus, l’article remet en question la formation footballistique d’Atal, mentionnant qu’il a quitté l’USM Alger parce qu’il ne pouvait pas payer son loyer, et il arrivait souvent en retard aux entraînements à la JS Kabylie « faute de pouvoir s’acheter une voiture ».

L’article souligne également qu’après son arrivée en Europe à l’âge de 20 ans, Atal ne savait même pas comment utiliser un distributeur de banque. Il raconte comment Atal avait du mal à retirer son salaire des distributeurs bancaires car il n’avait jamais possédé de carte bancaire auparavant.

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