Voilà bien des jours que cela est rendu public. En effet, le président algérien Abdelmadjid Tebboune se rendra, en mai prochain à Moscou. Suite à cette annonce de la visite, Moscou et Washington se sont engagés dans une nouvelle surenchère verbale et diplomatique. Voici les détails.
Cette visite du Président algérien, sera l’occasion pour discuter « des relations bilatérales et plus particulièrement les horizons de la coopération énergétique », selon un communiqué du palais al-Mouradia à Alger. Pendant ce temps, Washington et Moscou s’adressent des messages indirects concernant Alger. Tous deux ont en effet loué son rôle positif.
« Il ne faut pas exercer de pressions » sur Alger a déclaré, Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, réagissant à l’appel à punir l’Algérie lancé par 27 membres du Congrès américain. Alger agit selon ce qui est « dicté par ses intérêts » et ne subit pas la pression, a-t-il ajouté.
Du côté américain, Wendy R. Sherman, la conseillère du secrétaire d’État, a salué les efforts algériens pour la paix et la sécurité au Mali et dans la région. C’était lors d’un entretien téléphonique avec le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra. Voilà ainsi lancée une bataille dont l’issue ne saurait être devinée à l’avance.
Et vous oubliez la France et la grande Bretagne il ne restent que les chiens et les chats pour demander leurs places et surtout jeter les marococo sinon ça va être la surcharge car la route est très étroite pour tout le monde.