Blocage à l’USM Alger : deux mois après l’annonce de sa nomination, Said Allik n’a toujours pas signé. Désaccords sur le salaire, durée du contrat et remaniement interne freinent son arrivée officielle.
Said Allik et l’USM Alger : Une situation de blocage
L’atmosphère est tendue au sein de l’USM Alger à cause du retard dans la signature du contrat de Said Allik. Malgré l’annonce de sa nomination en tant que directeur général, soutenue par le ministre des Transports, son contrat n’a pas encore été signé. Deux mois ont passé, et le désaccord persiste autour des termes du contrat qui propose actuellement une durée de trois ans assortie de primes de match.
Des exigences financières non satisfaites
Said Allik et le groupe Serport ne sont pas d’accord sur le salaire proposé. Bien que les conditions contractuelles aient été ajustées, Serport ne peut pas accéder aux demandes financières d’Allik, qui exige 220 millions/mois, considérant cela comme justifié pour son rôle crucial dans le projet sportif de l’USM Alger.
En plus de l’aspect financier, Allik souhaite un remaniement au sein du conseil d’administration, cherchant à travailler avec des personnes de confiance. Le conseil d’administration a proposé une nouvelle version du contrat, conformément aux souhaits d’Allik, mais reste limité par réglementation financière de Serport.