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Un chercheur algérien connu sous le nom de « couscous » aux Emirats Arabes Unis

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chercheuse algérienne Samira Ambouza pour participer aux Journées du patrimoine de Sharjah.

Le Directeur du Centre des Arts et de la Culture de Tlemcen a donné une conférence sur le rôle et l’importance de la numérisation dans la protection du patrimoine culturel matériel et immatériel, et la manière d’exploiter la technologie dans ce domaine, surtout avec le grand développement réalisé par le monde dans ce domaine. direction, alors que la pandémie de Corona a accéléré l’émergence de la voie de la numérisation dans divers secteurs culturels et sociaux comme alternative virtuelle à la réalité.

Dans la conférence, qui a été activée par les médias et le réalisateur Mohamed Ghobashi, le Dr Ambouza a souligné que la numérisation ne se limite pas seulement aux visites virtuelles, qui sont l’un des outils de marketing numérique les plus importants, mais joue également un autre rôle représenté dans l’utilisation du numérisation des données pour chaque patrimoine culturel, en particulier l’immatériel car il est vulnérable à la violation ou à la perte.

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La chercheuse algérienne a offert aux participants du Forum des Journées Culturelles de Sharjah, l’occasion de visiter les monuments historiques de la ville de Tlemcen, tels que les palais, les mosquées et les forteresses, ainsi que de numériser l’habit du patrimoine algérien, comme le « Shuda » qui était classé au patrimoine mondial immatériel de l’UNESCO en raison de sa valeur culturelle et artistique.

La représentante de l’Algérie, Dr. Ambouza, a présenté une deuxième visite virtuelle à l’exposition de couscous à travers la technologie à 360 degrés et des lunettes électroniques, et a déclaré qu’elle prépare une visite virtuelle de toutes les compétences et pratiques populaires de préparation du couscous algérien, alors qu’elle dit « Jawahir Al-Shorouk ».

La troisième visite virtuelle que Samira a présentée était le patrimoine historique représenté dans la révolution de libération algérienne, et ces trois visites ont été admirées par les participants.

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Dans sa conférence, la chercheuse algérienne a souligné la nécessité de différencier le patrimoine parce qu’il se caractérise par la continuité et l’ininterrompu en termes de contenu et de forme entre les générations, tandis que le traditionnel est ce qui a cessé d’être utilisé pendant un certain temps ou a été perdu puis ressuscité encore une fois pour les nouvelles générations à imiter.

Au vu du grand intérêt que le Centre du Patrimoine Arabe aux Emirats Arabes Unis attache au patrimoine mondial, le Centre a soumis une demande pour l’ensemble des recherches menées par le Dr Samira Ambouza sur le patrimoine algérien dans le but de le préserver dans le cadre d’un projet visant à établir une salle d’exposition qui comprend tout le patrimoine mondial

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