Que se passe-t-il ? Selon les nouvelles, une diplomate israélienne et son équipe ont été poussés vers la sortie à la demande de l’Algérie ainsi qu’une puissance économique en Afrique. A noter que cela s’est passé au cours des travaux du 36e sommet de l’Union africaine (UA) qui se tiennent ce weekend à Addis-Abeba, capitale de l’Éthiopie, sous le slogan « Accélération de la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) ».
L’Algérie se trouve dans le collimateur du sionisme pour avoir réclamé, ce samedi 18 février 2023, le départ d’une diplomate israélienne, a-t-on appris. En effet, le personnel de sécurité du rassemblement aurait invité la délégation d’Israël à renoncer à son statut d’observateur. Celui dont elle bénéficie évidemment au sein de l’UA. La commission en question est composée de la directrice adjointe pour l’Afrique au ministère israélien des Affaires étrangères, Sharon Barley, ainsi que d’autres participants.
Selon ce que rapporte le média international i24NEWS qui mentionne comme source la presse israélienne, deux États sont cités comme étant à l’origine de cette décision. À savoir l’Algérie et l’Afrique du Sud. Dans ce sillage, ces deux nation fait l’objet d’un communiqué signé par le département ministériel sioniste précité. Par ailleurs, il est à noter que ces deux nations sont connues pour leur soutien indéfectible et leur solidarité au peuple palestinien et du Sahara occidental. L’Algérie et l’Afrique du Sud auraient donc réaffirmé leur position ferme en faveur du droit de ces derniers.
l’Algérie restera comme une grosse boule dans le gosier des sionistes et aussi dans la gorge du makhnaz lui qui corrompu certains pays africains pour une place aux sionistes barbares .