L’Algérie aurait tenté de s’immiscer dans le festival de cinéma de Yaoundé, offrant des millions d’euros pour un festival à Tindouf. Cependant, selon des sources proche la manœuvre a échoué grâce à une contre-campagne organisée par des cinéastes marocains et le renforcement du soft power du Maroc en Afrique.
Et plusieurs sources notifient que l’Algérie, utiliserait sa manne financière, pour tenter régulièrement de nuire aux intérêts du Maroc, y compris dans le domaine du cinéma. Récemment, une tentative d’infiltration a été déjouée lors du festival de cinéma de Yaoundé, les « Écrans noirs », au Cameroun.
L’année précédente, à la même manifestation, l’Algérie aurait déjà essayé de recruter des partisans pour un projet de festival de cinéma à Tindouf, visant à saper l’influence cinématographique du Maroc en Afrique. Cette année, elle a récidivé en offrant des sommes importantes, dont 5 millions d’euros, pour financer un festival de cinéma à Tindouf.
Mieux à en croire plusieurs sources, l’Algérie a même réussi à s’immiscer dans le festival de Yaoundé, bien qu’elle n’ait pas été invitée, et a tenté de convaincre les participants de se joindre à son projet, visant principalement à dénigrer les intérêts du Maroc et à promouvoir le projet séparatiste du Polisario.
Cependant, les cinéastes marocains ont rapidement organisé une contre-campagne et persuadé leurs collègues africains de ne pas soutenir la délégation algérienne. Des personnalités influentes du cinéma africain ont également pris position en faveur du Maroc.