Deux hôtesses de l’air de la Royal Air Maroc (RAM) ont été appréhendées à l’aéroport Mohammed V de Casablanca pour contrebande de produits cosmétiques. Cette récente affaire, survenue lors de l’atterrissage du vol AT 201 en provenance des États-Unis le vendredi 23 février, ébranle profondément la réputation de la compagnie aérienne marocaine et de son personnel.
Une tentative sophistiquée de contrebande mise à jour
Les agents des douanes, agissant sur des informations précises, ont découvert les hôtesses de l’air tentant de quitter l’avion par le couloir de l’équipage avec des marchandises dissimulées. L’enquête a révélé une tentative sophistiquée de contrebande, avec une quantité importante de produits saisis, soumis à des régulations strictes au Maroc.
Ouverture d’une enquête approfondie
Les autorités compétentes ont immédiatement ouvert une enquête pour identifier les ramifications de l’affaire et les éventuelles complicités. La RAM s’est engagée à prendre des mesures correctives pour renforcer ses procédures de sécurité et de contrôle afin de restaurer la confiance des clients.
Un nouveau scandale qui ternit la réputation de la compagnie
Ce nouveau scandale vient s’ajouter à une série d’incidents récents, incluant des engagements non-tenus et l’affaire des bagages égarés à Montréal. Il souligne la nécessité pour la compagnie de revoir ses protocoles et de garantir la sécurité et l’intégrité de ses opérations.
Des leçons à tirer pour la Royal Air Maroc
La Royal Air Maroc doit tirer des leçons de cet incident et mettre en place des mesures concrètes pour éviter de nouveaux incidents compromettants. Avec cette série d’erreurs, il est impératif pour la compagnie de restaurer la confiance de ses passagers et de maintenir des normes élevées de professionnalisme et de fiabilité.