Par compte, il faut signaler que les nouvelles mesures prisent par Élisabeth Borne et son gouvernement  vise à la  remise en cause de ces accords, principalement celles qui touchant les droits des retraitées algériens. Certes les textes ne sont pas remis en cause directement. Cependant, La France à travers son gouvernement cherchent a remettre en  cause des accords de sécurité sociale conclus entre la France et l’Algérie. « convention » qui c« en vertu des accords de sécurité sociale conclus entre la France et l’Algérie (convention générale de sécurité sociale, protocole général et protocole annexe du 1er octobre 1980, protocole annexe du 10 avril 2016), les ressortissants de chacun des deux États ayant exercé une activité salariée dans l’autre État peuvent, sous réserve de remplir les conditions de liquidation, percevoir leurs droits à la retraite dans leur État de résidence ».

Lire aussi :  Destination des retraités français : l’Algérie en tête de liste.

Il est donc clair que convention indique que  « Le travailleur ou le survivant d’un travailleur résidant en France ou en Algérie qui, ayant travaillé sur le territoire de l’un et de l’autre État, sollicite le bénéfice d’une prestation de vieillesse doit adresser sa demande : – À l’institution algérienne s’il réside en Algérie ; – À l’institution française s’il réside en France. La demande adressée auprès d’une institution de l’autre pays est recevable. Cependant, elle devra être transmise par cette institution à l’institution de résidence du demandeur pour traitement ce qui entraînera des délais supplémentaires ».

En somme l’on retient que  cette mesure du pouvoir Marcon, obligeant les retraités  a vivent en  France au moins pendant 9 mois dans l’année constitue une violation des accords de 1968

Lire aussi :  Turquie : Erdogan invite Tebboune à la cérémonie d’investiture