Au cœur des rumeurs, Vladimir Petkovic, entraîneur de l’équipe nationale algérienne, semble prêt à bousculer les attentes en laissant de côté Saïd Benrahma et Youcef Belaïli pour le stage d’octobre.
Des choix inattendus avant le rassemblement d’octobre
Selon La Gazette du Fennec, Petkovic prépare des surprises pour les fans, avec des choix qui pourraient faire grincer quelques dents. Bien que la mise à l’écart de Saïd Benrahma puisse être justifiée par des performances irrégulières en club, la décision concernant Youcef Belaïli, joueur clé de l’Espérance de Tunis, est encore plus déroutante puisqu’il n’aurait même pas été pré-convoqué.
Une volonté claire de renouvellement
Avec cette approche, Petkovic montre sa détermination à insuffler du sang neuf dans l’équipe. Ses choix sont loin d’être un caprice opportuniste mais s’inscrivent dans une stratégie réfléchie : reconstruire l’équipe autour de talents plus performants et disciplinés. Longtemps critiqué pour son conservatisme, Petkovic semble vouloir faire évoluer ses méthodes. Cet écart forcé de Saïd Benrahma et Belaïli, figures emblématiques de l’équipe, en est la preuve.
Enjeux cruciaux des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026
L’importance de cette nouvelle formation ne peut être sous-estimée, car l’Algérie se prépare à disputer les deux dernières rencontres cruciales des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Trois précieux points suffisent pour assurer une qualification. Les Verts devront d’abord affronter la Somalie avant de se mesurer à l’Ouganda, un match décisif pour leur avenir. En banchant des cadres notoires, Petkovic adresse un message sans équivoque : la sélection repose avant tout sur la performance du moment.