Explorez les défis économiques du Maroc, tels que la sécheresse et la montée de la pauvreté, tandis que le roi Mohammed VI investit dans une nouvelle résidence à l’étranger. Découvrez les conséquences sur l’agriculture, l’approvisionnement en eau et la situation sociale du royaume.
Mohammed VI face aux impacts de la sécheresse sur l’économie marocaine
Le roi du Maroc, Mohammed VI, semble mettre ses propres priorités en avant, malgré les avertissements croissants des organismes officiels sur la sécheresse croissante et la montée de la pauvreté au sein du royaume. Pendant que le secteur agricole, contributeur majeur au PIB, est durement touché par cinq années consécutives de sécheresse, le souverain s’octroie une résidence supplémentaire à l’étranger, sur les rivages de l’océan Indien.
Cette sécheresse menace non seulement le secteur agricole mais aussi l’approvisionnement en eau de la population. Le Maroc, malgré d’importants investissements dans la construction de barrages, fait face à des niveaux de remplissage historiquement bas, mettant en péril l’approvisionnement en eau des ménages dans certaines régions.
Pauvreté croissante et inégalités sociales
Le rapport de la Confédération générale du travail (CDT) indique que la pauvreté au Maroc a augmenté au cours des deux dernières années, touchant 3,2 millions de citoyens. Pendant ce temps, la classe aisée semble rester épargnée, accentuant les inégalités.
Le Maroc, déjà classé comme l’un des pays les plus inégalitaires au monde, voit la moitié de ses revenus concentrés entre les mains de 10 % de sa population, en grande partie composée de courtisans de la Cour et de membres de la famille royale.
Le roi Mohammed VI et ses résidences à l’étranger
Dans ce contexte social précaire, le roi Mohammed VI ne semble pas freiner son appétit pour les résidences à l’étranger. Malgré les difficultés vécues par les sinistrés du récent séisme, contraints de vivre sous des tentes, le souverain investit dans la construction d’une somptueuse résidence à Zanzibar, sur l’océan Indien.
Cela soulève des critiques, notamment du youtubeur marocain Adnane Filali, qui dénonce le contraste entre les victimes du tremblement de terre vivant dans des conditions précaires et les choix extravagants du roi.
Depuis 2018, Mohammed VI, dont la holding royale domine les activités du royaume, passe plus de temps à l’étranger qu’au Maroc. Outre ses nombreux palais nationaux, le roi possède également plusieurs résidences à l’étranger, dont en France et au Gabon.
Selon des sources, la nouvelle résidence à Zanzibar, construite sur la base d’un ancien palais appartenant à un sultan omanais, est presque achevée, laissant présager un prochain déménagement du roi.
La Société générale des travaux du Maroc (SGTM) supervise les travaux, envoyant ses meilleurs techniciens et artisans pour garantir la réalisation de cette nouvelle résidence royale.
Résumé
Cet article explore la conjoncture actuelle au Maroc, mettant en exergue les défis préoccupants tels que la sécheresse persistante et la montée de la pauvreté. Avec le secteur agricole, contributeur majeur au PIB, durement touché par cinq années consécutives de sécheresse, les conséquences s’étendent à l’approvisionnement en eau de la population, augmentant les inquiétudes quant à la sécurité alimentaire et aux conditions de vie.
La pauvreté croissante est un autre enjeu majeur, avec des rapports indiquant une augmentation du taux de pauvreté affectant 3,2 millions de Marocains au cours des deux dernières années. Les inégalités économiques exacerbent cette crise, avec la moitié des revenus du pays concentrés entre les mains de seulement 10 % de la population, principalement composée de courtisans de la Cour et de membres de la famille royale.
Dans ce contexte social et économique précaire, le roi Mohammed VI suscite des critiques en investissant dans une nouvelle résidence à l’étranger, en l’occurrence à Zanzibar, sur l’océan Indien. Cette décision est particulièrement critiquée alors que les sinistrés d’un récent séisme au Maroc vivent toujours dans des conditions précaires sous des tentes.
L’article souligne également le contraste entre les besoins sociaux urgents du pays et les choix du roi, qui, depuis 2018, passe plus de temps à l’étranger qu’au Maroc. La construction de cette nouvelle résidence, conçue sur la base d’un palais omanais, est presque achevée, malgré les difficultés socio-économiques persistantes auxquelles est confronté le royaume.
Il s’en fout totalement des marocains,ce qu’il l’intéresse c’est d’avoir du pognon pour s’acheter des hôtels et tous ce qui peut l’enrichir lui et sa famille,et bien fait pour le peuple soumis qui continuent a le vénérer et lui baiser les mains, alors qu’à marakech les gens logent dans des tentes dans le froid, vous allez les voir ils vont diront vive le roitelet et on est heureux, c’est un peuple qui a été dressé comme un animal a l’ordre de son maître,ils sont sourds aveugles et muets.