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Le procès de Haddad, Gul et d’un juge ajourné au 17 février

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Le juge de la troisième chambre du tribunal pénal et du pôle économique et financier de Sidi M’hamed, à Alger, a reporté, jeudi, l’examen du dossier de corruption dans lequel l’homme d’affaires et ancien président de l’Avseo Ali Haddad, accompagné d’un nombre d’anciens ministres qui ont repris le portefeuille du secteur des transports et des travaux publics, seront jugés en février prochain, à la demande d’avocats et de lusieurs prévenus atteints du Covid-19.

Le dossier, qui sera diffusé à la date précitée, porte sur l’affaire d’achever les travaux du projet de dualité de la route nationale à Ain Defla n°42 à une distance de 9 km et de la relier à l’autoroute Est-Ouest convertisseur, suivi de l’ancien responsable du Forum des hommes d’affaires Ali Haddad Al-Mutawahid à l’établissement pénitentiaire Tazoult de Batna, accompagné des ministres anciens directeurs des transports et des travaux publics, que sont Ammar Ghoul et Abdel Qader Qazi, en plus des anciens directeurs de travaux publics “Kh. Ali » et « B. Mohamed Abdel Samad, ainsi que l’accusé, B. Soliman, directeur général de la Société algérienne des travaux routiers.

Il attend plus de précisions sur le dossier à travers l’interrogatoire qui sera mené par le juge de la troisième branche du pôle pénal économique et financier, jeudi 17 février, après avoir entendu les dépositions des prévenus, qui sont poursuivis de lourdes charges liées à à l’octroi de privilèges injustifiés dans le domaine de la conclusion de marchés publics et de l’abus de pouvoir, ainsi que l’accusation de conflit d’intérêts et d’exploitation Influence et participation au gaspillage des fonds publics et participation au gaspillage des fonds publics en plus des accusations d’obtention privilèges injustifiés dans le domaine des transactions publiques et incitation d’un agent public à exploiter son influence dans le but d’obtenir des avantages indus, et le délit de délivrance de certificats prouvant des faits inexacts, qui sont les charges prévues dans la loi de prévention de la corruption et de sa lutte 06 /01.

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