Toujours selon Mohamed Sidati le Maroc s’est également présenté comme candidat au poste de premier vice-président de l’Union africaine dans une seule et machiavélique intention barrer la route à l’Algérie et fausser son droit à ce poste. Mieux, il a estimé que le Maroc ne mérite pas de siéger à un poste aussi important, car il représente une menace pour la stabilité de l’Union africaine.
Notons que ces accusations du numéro de la diplomatie du peuple sahraouie soulèvent des inquiétudes quant aux manœuvres du Maroc pour influencer les décisions prises par l’Union africaine. Si ces informations s’avèrent vraies, cela pourrait mettre en danger l’intégrité de l’Union africaine et remettre en cause sa capacité à défendre les intérêts de ses membres. Il est important de rappeler que « la République sahraouie » a été fortement présente lors de la trente-sixième conférence de l’Union africaine à Addis-Abeba. Les contributions de ce pays ont été remarquées par les participants. Pour un invité international, la République sahraouie est devenue un facteur de stabilisation en Afrique du Nord, une valeur ajoutée pour l’Union africaine et un élément important de la famille africaine.