La CAF enquête sur l’Algérie pour violation des règlements, suite à une plainte du Maroc. Une situation qui ternit l’image de la compétition.
Ouverture d’une enquête par la CAF
Un nouvel épisode de tension secoue le football africain, opposant l’Algérie au Maroc dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine 2024. La Confédération Africaine de Football (CAF) a officiellement annoncé l’ouverture d’une enquête concernant la sélection féminine algérienne pour de possibles violations des statuts et règlements de la compétition. Cette communication, bien que succincte, a rapidement suscité des réactions diverses parmi les observateurs et supporters des deux nations.
Accusations et réactions des fédérations
Selon des sources proches de l’affaire, la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) aurait déposé une plainte, accusant l’équipe algérienne de manquements à certaines obligations administratives ou protocolaires. De son côté, la Fédération Algérienne de Football (FAF) n’a pas encore réagi officiellement, mais conteste avec vigueur ces accusations selon nos informations. Elle se dit prête à défendre sa position devant les autorités compétentes.
Un contexte tendu pour la CAN Féminine 2024
Ce nouvel affrontement vient ajouter des tensions dans des relations déjà délicates entre les deux fédérations, souvent aggravées par des incidents diplomatiques liés aux compétitions africaines. Alors que la CAN Féminine 2024 devrait célébrer le football africain, cette affaire risque de nuire à l’image du tournoi en prenant potentiellement une dimension politique. L’équipe nationale féminine de l’Algérie subit une pression intense, tant sur le terrain qu’en dehors, alors que l’enquête suit son cours.