Wassila, la sœur de l’écrivain franco-algérien Kamel Daoud, a fait des déclarations inattendues sur l’auteur du « scandale Horiyat », après le grand tollé suscité par son exploitation d’une des victimes de la décennie noire dans son œuvre littéraire.
Wasila Daoud a adressé de sévères critiques à son frère, à travers l’émission « As It Were », diffusée par la chaîne One TV, estimant qu’il avait été « intellectuellement kidnappé et trompé », d’autant plus qu’il avait renié sa famille et avait fait de fausses déclarations à leur sujet plus tôt.
Elle a parlé des médias français, qui ont présenté son frère d’une manière positive qui l’a servie, soulignant qu’il insulte son pays à travers ses plateformes et ignore les sacrifices de sa famille, sous laquelle il a été élevé dans l’amour du pays, raison pour laquelle cela l’a incitée à comparaître et à prendre la parole, afin de discuter de certaines questions qui nécessitaient la présence d’un membre de la famille.
Dans le même contexte, elle a expliqué qu’il était nécessaire de parler de l’histoire de la famille de Daoud, après que le fils désobéissant lui ait ouvert les portes de l’enfer en raison de son comportement irresponsable au point que le titre de « Harki » lui a été injustement attribué. , et elle a également été accusée d’être juive et de pratiquer différents rituels religieux !
Elle a exprimé l’espoir qu’il reconsidère son parcours intellectuel et politique, soulignant que le père, qui était gendarme, aurait contesté ses déclarations s’il était en vie, et que la mère, qui souffre de la maladie d’Alzheimer, pourrait être choquée s’il était en vie. Elle réalisa ce qui se passait autour d’elle.
La sœur cadette de l’écrivain controversé a dénoncé la description de sa famille comme pauvre et persécutée, ainsi que les calomnies selon lesquelles il était le seul parmi ses frères et sœurs à avoir un diplôme universitaire, soulignant qu’il niait la faveur de ses parents envers lui et envers son pays, l’appelant à se revoir et à reprendre ses esprits.
Kamel Daoud, lauréat du prix Goncourt français, qui exploitait la tragédie d’une Algérienne
En novembre dernier, la même chaîne de télévision avait déclenché un énorme scandale à propos du roman « Nymphes » du romancier Kamel Daoud, lauréat du prix Goncourt français, qui exploitait la tragédie d’une Algérienne qui séjournait chez sa femme psychologue.
L’écrivain français, d’origine algérienne, ne s’est réveillé de l’euphorie de sa conquête des plus grandes récompenses littéraires francophones avec son roman « Houris », dans lequel il parlait de la « Décennie noire », que lorsque le coup lui est venu de l’État d’Oran, après qu’une femme nommée Saada Arbane ait quitté ses fonctions. Son silence l’a amenée à décider de le poursuivre en justice, lui et son épouse, pour exploitation de sa tragédie personnelle.
Dans un article publié par le magazine français Le Point, Daoud a nié avoir exploité dans son roman l’histoire d’une femme qui a été l’une des victimes de la « Décennie noire », affirmant : « Cette pauvre jeune femme prétend que c’est son histoire. . « Je peux comprendre sa tragédie, mais ma réponse est claire : ce n’est absolument pas vrai. »
Il ajoute : « À l’exception de la blessure apparente, il n’y a aucun point commun entre la tragédie de cette femme difficile et l’héroïne du roman… La blessure n’est pas unique. »
Il a ajouté : « C’est une blessure qui existe parmi des centaines de personnes », soulignant que l’objectif de Saadeh était de tuer un écrivain et de diffamer sa famille.
Il a poursuivi : « Huriyat est un roman de fiction qui ne révèle aucun secret. Le tube (utilisé pour respirer et parler), la cicatrice et les tatouages ne sont pas des secrets médicaux, et la vie de cette femme n’est pas un secret, comme le prouvent ses témoignages.
Daoud est entré dans l’Histoire par la grande porte ! Hélas pour lui et tant pis même , il en sortira par le soupirail ! Cheh !!!
il fait tout pour plaire aux sbires d’hier, pour cela il est prêt même à changer son identité et sa famille.