Israël a repris le contrôle des villages autour de Gaza après une attaque du Hamas. Le bilan tragique compte près de 1.200 morts, suscitant des inquiétudes internationales.
Au troisième jour de l’offensive du Hamas contre Israël, les événements prennent une tournure dramatique. L’armée israélienne a réussi à reprendre le contrôle des villages entourant Gaza, mais le coût humain est dévastateur.
Les frappes aériennes sur Gaza se sont intensifiées dans la nuit de dimanche à lundi, entraînant un bilan de plus de 1.100 morts. Cette tragédie a touché plus de 700 personnes du côté israélien, tandis que le nombre de victimes palestiniennes atteint 493.
Un porte-parole de l’armée israélienne a comparé cette agression à la fois au 11 septembre et à Pearl Harbor, déclarant que c’était le pire jour de l’histoire d’Israël.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a averti que cette guerre pourrait être longue et difficile.
De plus, des événements tragiques se sont produits en dehors du conflit armé. Un massacre de plus de 260 festivaliers a eu lieu lors d’une rave party près de la frontière avec la bande de Gaza. Les témoignages décrivent une scène de violence impensable.
Les hostilités ont également provoqué le déplacement de plus de 123 000 personnes dans la bande de Gaza, selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA).
Les répercussions de cette attaque se font ressentir au-delà des frontières, avec une hausse des cours du pétrole sur les marchés mondiaux.
Les débats politiques en France sont également animés, avec des controverses sur la position de certaines figures politiques concernant le conflit. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, doit rencontrer des représentants de la communauté juive en France pour discuter de la situation en Israël.
La situation sur le terrain reste tendue, avec des combats sporadiques et des inquiétudes quant à la poursuite de la violence. Les pertes humaines continuent de s’accumuler, laissant une région en deuil et le monde en état de choc.