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Acharnement contre Imane Khelif : une journaliste américaine reçoit un sanction fatale

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L’acharnement médiatique contre la boxeuse algérienne Imane Khelif a conduit au licenciement de Sam Ponder, journaliste de ESPN, après des propos à polémiques sur le genre de l’athlète.

Acharnement Médiatique contre Imane Khelif : Les Conséquences Commencent à Tomber

Imane Khelif, la boxeuse algérienne au parcours brillant, a été la cible d’une campagne médiatique intense et nuisible avant même sa participation aux Jeux Olympiques Paris-2024. Des commentaires malveillants remettant en question son genre ont circulé, alimentant un cyberharcèlement sans précédent. Malgré ces attaques, la boxeuse algérienne a brillamment remporté la médaille d’or, fermant ainsi la bouche de ses détracteurs par ses exploits sur le ring.

Acharnement contre Imane Khelif
Acharnement contre Imane Khelif

Et l’affaire continue…

Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là. En réponse aux attaques subies, Khelif a décidé de prendre des mesures légales en déposant une plainte pour cyberharcèlement auprès du parquet de Paris. Et il semble que cette action commence à produire des effets concrets, car les premières sanctions sont déjà tombées.

ESPN Licencie sa Journaliste Après des Propos Polémiques

Sam Ponder, célèbre journaliste de la chaîne sportive américaine ESPN, a été licenciée suite à des propos déplacés qu’elle a tenus à l’encontre d’Imane Khelif. Ponder, animatrice de l’émission NFL Countdown, a indirectement remis en cause le genre de Khelif dans une publication sur son compte X (anciennement Twitter), déclarant : « XY = male, XX= Female ». Ce commentaire a été largement interprété comme une attaque contre l’athlète algérienne.

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Un licenciement qui annonce les hostilités

La décision de licencier Sam Ponder marque une position ferme de la part de ESPN contre les comportements inappropriés en ligne, surtout lorsqu’ils visent des personnalités publiques. Ce licenciement n’est que la première retombée d’une affaire qui promet d’impliquer d’autres figures influentes. L’avocat de la championne algérienne, Nabil Boudi, a déjà révélé certains noms cités dans la plainte déposée à Paris, parmi lesquels figurent Elon Musk, propriétaire de la plateforme X, et J.K. Rowling, romancière connue pour ses déclarations controversées sur les questions de genre.

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