La présidente italienne, Giorgia Meloni, nie formellement la construction d’une usine Fiat en Algérie, contredisant les annonces antérieures du gouvernement algérien. Cette révélation soulève des questions sur la transparence et la communication du régime algérien.
Giorgia Meloni, présidente du Conseil des ministres italien, a catégoriquement démenti la construction d’une usine Fiat en Algérie, mettant ainsi en doute les annonces enthousiastes du ministre algérien de l’Industrie et de la production pharmaceutique, Ali Aoun. Ce dernier avait annoncé en grande pompe que la première voiture de la marque Fiat « fabriquée à Oran » serait sur le marché en décembre. Il avait également affirmé que l’usine Fiat à Tafraoui, Oran, avait atteint un taux d’avancement de 75%.
Les déclarations de Giorgia Meloni ont créé une situation embarrassante pour le régime algérien, qui avait vendu ce projet comme une réalisation majeure. Cette révélation soulève des questions sur la transparence et la communication du gouvernement algérien, qui semble avoir créé un rêve pour détourner l’attention de l’opinion publique de ses véritables préoccupations.
Il est clair que cette gifle politique infligée par la présidente italienne met en lumière les contradictions et les problèmes de communication du régime algérien. Cette situation met également en évidence les enjeux entourant les annonces officielles et les réalités sur le terrain.