La justice algérienne est intervenue « en urgence » pour mettre en œuvre la saisie des biens apparents et cachés de l’ancien ministre de l’Industrie Abdelsalam Bouchouareb, sur ordonnance du Tribunal pénal économique et financier de Sidi Mhamed.
Dans le prolongement de ce que « Al-Shorouk » avait précédemment publié exclusivement sur le ministre fugitif, vendant deux appartements de sa propriété dans la capitale française, Paris, pour une valeur de 45 milliards de centimes, et essayant de le vendre à sa propriété à l’intérieur du pays, dimanche, en faisant irruption dans ses luxueuses villas situées dans la commune d' »Al-Sharqa » dans le haut de la capitale, dont la valeur est estimée à 200 milliards de centimes, où elle était réservée.
Dans une démarche volontariste pour récupérer les fonds pillés, en application de la politique du président de la République, le premier juge du pays, qui a souligné depuis son entrée en fonction qu’il ne renoncera pas à ses promesses de récupérer ces fonds qui ont été pillés par le gang et le cartel financier.
La justice algérienne a porté un coup sévère à l’ingénieur de la ruine économique algérienne, Abdel Salam Bouchouareb, et a déjoué tous ses plans pour contourner les autorités algériennes et falsifier les décisions rendues par la justice algérienne au nom du peuple algérien.
Selon nos sources, tous ses biens en Algérie ont été saisis, avec toutes les mesures qui rentrent dans le cadre des accords judiciaires avec la France pour mettre en œuvre la saisie immédiate de tous les biens du ministre fugitif, représentés dans 3 appartements au coeur du capitale de la France, Paris.
Dans le détail des opérations de saisies, des sources de haut niveau ont révélé à « Al-Shorouk » que la police judiciaire, sous la tutelle du Tribunal pénal économique et financier de Sidi M’hamed, a perquisitionné la villa n°04, située à Hawassin Rue Al-Hadi dans la commune de Cherraqa à Alger, attenante au centre commercial de Jérusalem, en civil Son véritable propriétaire, Abdel Salam Bouchouareb, l’a louée à l’ambassade d’Irak pendant plusieurs années avant qu’elle ne parte et l’enregistre au nom de sa mère .
A l’intérieur du palais de Bouchouareb, un trésor de bijoux et d’ornements coûteux a été découvert, et des sommes d’argent très importantes ont été saisies en devises fortes, « l’euro et le dollar », ainsi que deux voitures de luxe de fabrication allemande, et des biens meubles de valeur ont été saisis. trouvé à l’intérieur de la villa de luxe, dont la valeur financière dépasse 200 milliards de centimes, car elle a été immédiatement réservée.
Les autorités judiciaires ne se sont pas arrêtées là, mais ont également saisi le même jour 10 propriétés du ministre fugitif, composées de biens immobiliers et d’appartements de différents types, d’appartements ordinaires et d’appartements en duplex, ainsi que d’une usine bien connue à l’est. côté de la capitale.
Selon des sources d’Al-Shorouk, le processus de saisie s’est poursuivi jusqu’aux petites heures de lundi matin et bat son plein au point d’écrire ces lignes, portant ainsi aux autorités judiciaires algériennes un coup douloureux aux parties qui ont tenté d’entraver le processus de récupérer l’argent pillé à l’étranger, comme l’exigent les accords.