Djamel Belmadi dévoile des secrets brulants sur ses cinq premières années en tant que sélectionneur de l’équipe algérienne. Des révélations sur la première année triomphante, les changements dans le vestiaire, et les défis à venir à la veille de la CAN 2024.
Dans un exposé captivant à l’Université d’Alger, Djamel Belmadi, le maestro de l’équipe nationale algérienne, a ouvert la boîte de Pandore sur ses cinq années de règne. Une plongée vertigineuse dans les coulisses tumultueuses des Fennecs, avec des révélations qui font vaciller les certitudes.
La première année flamboyante, marquée par la conquête de la CAN 2019 et une série record de 35 matchs invaincus, cache une réalité complexe. Belmadi a dû affronter une rébellion silencieuse dans le vestiaire, où certains cadres se percevaient au-dessus du groupe, prenant la sélection en otage. Des exclusions nécessaires ont été imposées pour insuffler une nouvelle vie à l’équipe.
Le sélectionneur insiste sur le besoin d’investissement individuel, proclamant que personne n’est sacré au-dessus de la sélection algérienne. Ces révélations explosives, bien que visant à renforcer la cohésion, pourraient semer des doutes dans l’esprit des joueurs à l’approche de la CAN 2024. Une plongée dans l’arène bouillonnante des Fennecs, prêts à relever de nouveaux défis.