Un « message écrit » comportant le terme de « Lobbing » a suffit à révéler les fils de l’affaire Ali Haddad et des « groupes de pression américains proches de la Maison Blanche » pour faire pression sur les autorités algériennes pour qu’elles libèrent l’homme d’affaire.
De son côté, Ali Haddad a complètement nié avoir eu connaissance de ce deal et de sa connaissance du nom « Sabrina », et du contrat conclu entre cette dernière et le « lobby américain », étant incarcéré à l’établissement pénitentiaire durant cette période, tandis que son fils Aguilas a confirmé que son utilisation du terme « Lobbing » dans la lettre ne voulait pas dire faire pression à l’étranger pour la libération de son père, mais plutôt pour mieux se défendre.