Wissem Maâli, l’expert tunisien en préparation physique,dévoile des différences cruciales dans les approches de préparation de Djamel Belmadi et des équipes arabes pour la CAN. Il critique le choix du sélectionneur algérien concernant la préparation mentale et souligne l’impact sur la performance de l’équipe d’Algérie. Découvrez les détails exposés par l’expert sur la préparation du coach Belmadi et de son équipe pour le tournoi en Côte d’Ivoire.
Wissem Maâli, expert tunisien en préparation physique, a partagé des informations critiques sur les différentes approches adoptées par Djamel Belmadi et les équipes arabes, y compris l’équipe d’Algérie, pour se préparer à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Dans une interview, il a souligné l’importance de l’adaptation aux conditions du pays hôte et critiqué le manque de préparation mentale, en particulier de la part de Djamel Belmadi, pouvant influencer négativement la performance des joueurs.
Des Approches Variées pour la Préparation : Critique envers Djamel Belmadi
Maâli a révélé que les équipes arabes, dirigées par des entraîneurs tels que Djamel Belmadi, n’ont pas suivi un plan uniforme pour la préparation de la CAN. Certains ont opté pour des stages dans des pays africains, tandis que d’autres ont choisi de se rendre tôt en Côte d’Ivoire pour faciliter l’acclimatation. Il a critiqué le choix de Djamel Belmadi, soulignant l’importance d’une préparation mentale adéquate pour éviter des pressions excessives sur les joueurs.
L’Impact de la Pression sur la Performance : Déceptions Globales
Maâli a mis en garde contre l’impact significatif de la pression sur la performance des joueurs, notant que cela pourrait avoir contribué aux déceptions globales des équipes arabes à la CAN. Il a mentionné que l’équipe d’Algérie, sous la direction de Djamel Belmadi, a peut-être subi une pression élevée, entravant sa capacité à briller dans le tournoi.
Faiblesse de la Préparation Physique : Obstacle aux Performances
L’expert a souligné que la faiblesse de la préparation physique a été un obstacle majeur pour les équipes, les empêchant d’atteindre leurs meilleurs résultats. Avec seulement cinq équipes arabes atteignant les huitièmes de finale, il a pointé du doigt cette lacune comme un facteur majeur de la performance décevante.