Durant de nombreuses années, l’Algérie a fait du pétrole le pilier de son économie. L’or noir a fait entrer énormément d’argent dans les caisses de l’Etat. Conscients des risques de tout miser sur la rente pétrolière, les autorités ont entrepris un processus de diversification de l’économie.
Le processus de diversification est lancé mais il n’en demeure pas moins que le pétrole brut reste le premier produit d’exportation du pays. Ces dernières années, le prix du pétrole n’était pas du tout stable. Il y avait de nombreuses fluctuations qui limitaient les bénéfices.
Le pétrole algérien a la cote
Actuellement, l’Etat algérien peut se frotter les mains. En effet, le prix du baril de pétrole a connu une hausse significative pour se rapprocher des 100 dollars. La pandémie du coronavirus et la guerre en Ukraine ont drastiquement limité les perspectives sur le marché de l’or noir.
Tout récemment, un rapport de l’OPEP a montré que le brent algérien est l’un des meilleurs au monde. Sa qualité est indéniable car possédant des qualités physiques et chimiques très appréciés auprès des raffineurs.
Il s’agit donc d’une période propice pour l’Algérie de réaliser de bons bénéfices et renflouer au maximum ses caisses pour actionner divers chantiers de développement.