Stellantis frappe fort : les prix des FIAT vont chuter en Algérie grâce à une nouvelle ligne de production locale. Découvrez pourquoi ce tournant industriel change tout.
FIAT brade en Algérie : une révolution industrielle est en marche
Bonne nouvelle pour les Algériens : Stellantis prépare une chute historique des prix des voitures FIAT produites localement. Le constructeur active une nouvelle stratégie choc à l’usine de Tafraoui, près d’Oran, où une ligne de peinture et de soudure flambant neuve s’apprête à démarrer. Résultat attendu ? Une FIAT made in Algeria, plus locale, moins chère… et surtout plus accessible pour les familles. Dès juillet 2025, les premiers modèles test – nom de code X1 – sortiront de la chaîne. Objectif affiché : produire en masse, avec des pièces locales, pour vendre à prix cassé. Une réponse directe à la demande explosive et à la pression du pouvoir d’achat.
Des pièces algériennes pour casser les prix : Stellantis accélère
Le groupe ne cache plus ses ambitions : intégrer plus de 20 % de composants locaux, notamment la carrosserie, via le système CKD (Completely Knocked Down). Autrement dit : des pièces importées, assemblées en Algérie, pour une facture finale allégée.
Conséquence immédiate ? Une baisse des coûts de fabrication, donc des voitures plus abordables pour les Algériens. À l’heure où le marché auto reste tendu et spéculatif, cette offensive de Stellantis fait figure de game changer.
Un nouveau modèle mystérieux… et très attendu
Si la Fiat 500 reste en production, tous les regards se tournent vers le nouveau modèle attendu d’ici fin 2025. Officiellement, Stellantis garde le silence. Officieusement, les rumeurs évoquent un modèle proche de la Fiat Grande Panda, compact, familial et taillé pour séduire massivement. Le message est clair : Stellantis ne veut pas seulement baisser les prix, mais redéfinir les standards de l’auto familiale en Algérie, tout en anticipant la concurrence grandissante de Hyundai et consorts.
Stellantis veut dominer le marché : « 40 % du Maghreb, on y va »
Ce virage industriel s’inscrit dans une vision plus large : conquérir 40 % du marché méditerranéen avec des voitures algériennes, produites rapidement, localement et moins chères. Pour Stellantis, cette montée en puissance locale est bien plus qu’un projet économique : c’est une démonstration de force face à une industrie encore en chantier.