Mauvaise nouvelle pour les Algériens ! Le ministre du Travail tranche : les bénéficiaires de l’allocation chômage ne toucheront plus la pension de réversion ! Découvrez les détails de cette mesure choc.
Allocation Chômage : Une décision radicale qui fait polémique !
Le gouvernement algérien vient de poser une bombe dans le paysage social : les bénéficiaires de l’allocation chômage ne pourront plus prétendre à la pension de réversion ! Une décision définitive qui risque d’enflammer le débat. Fayçal Bentaleb, ministre du Travail, a été clair : les personnes touchant l’allocation chômage sont considérées comme des assurés sociaux et bénéficient déjà des prestations de la sécurité sociale.
Résultat : elles n’auront plus accès à la pension de réversion destinée aux ayants droit. Le choc est immense. Pour de nombreuses familles, cette pension représentait une bouée de sauvetage en cas de décès du conjoint. Comment vont-elles faire face à cette réalité brutale ? Le ministre a révélé un autre aspect de cette politique : un contrôle strict des bénéficiaires via un croisement de données avec les caisses de Sécurité sociale. Objectif : éviter toute fraude et s’assurer que seuls les chômeurs remplissant les critères continuent à percevoir cette aide.
Service national : La nouvelle règle qui change tout
Autre changement de taille : l’impact du service militaire sur l’allocation chômage. Les jeunes allocataires appelés sous les drapeaux devront suspendre leurs versements jusqu’à la fin de leur service.
- Ils devront signaler leur incorporation à l’ANEM pour éviter de devoir rembourser des sommes perçues indûment.
- Après leur service, ils pourront réactiver leur allocation en présentant leur carte d’accomplissement.
La plateforme « Minha » : Un outil de surveillance numérique
Le gouvernement mise sur la digitalisation pour suivre les bénéficiaires. Grâce à la plateforme « Minha », les allocataires peuvent :
- Suivre en temps réel leur éligibilité.
- Recevoir des notifications en cas de suspension.
- Mettre à jour leurs informations personnelles.
Une démarche qui vise à améliorer la transparence, mais qui inquiète aussi quant à la surveillance accrue des chômeurs.