Selon le communiqué officiel, plusieurs infractions ont été constatées, mettant en évidence le non-respect par Mohamed Bouakaz des règles strictes de déontologie professionnelle inhérentes à son poste. La présidence a jugé ces manquements inacceptables. Le conseiller occupant la Direction générale du Protocole détient un rôle crucial dans la gestion des relations protocolaires et agit souvent en tant que représentant du Président. Tout écart dans ce domaine peut entraîner des conséquences significatives sur les relations diplomatiques et l’image de l’État.