C’est lors d’une rencontre avec la presse algérienne que le Président algérien Abdelmadjid Tebboune a lancé ces propos à l’Hexagone. Plus de détails ici.
En guise de réponse à la question se rapportant à sa visite en France, le chef de l’Etat a laissé entendre qu’il ne renoncera pas. Il poursuivra en affirmant qu’il n’y aura de marchandage avec aucune nation.
Par ailleurs, en ce qui concerne le sujet de la mémoire avec la France, le premier citoyen algérien rassure que des efforts sont en train d’être faits. En témoigne la création d’une commission mixte d’historiens entre les deux pays ; Ceci, afin de traiter le dossier.
Il n’est donc pas question de considérer comme un fonds de commerce la mémoire chère au chef de l’Etat, et à la toute nation d’ailleurs. La mémoire, va rappeler Tebboune, est une nécessité en ce sens que, quiconque ignore son histoire ne peut espérer aller loin.