Ahmed Raissouni et Hamid Chabat avaient revendiqué publiquement la marocanité du Sahara oriental (sud-ouest de l’Algérie actuelle). Aujourd’hui, c’est au tour de la directrice des Archives Royales, Bahija Simou de s’exprimer sur ce débat du siècle
C’en n’en finit pas ! Le débat sur la marocanité du «Sahara oriental», placé par la France sous contrôle de l’Algérie indépendante en 1962, refait surface grâce à la directrice des Archives Royales, Bahija Simou. «Il n’y a pas que les documents historiques attestant de la souveraineté du Maroc sur ce qui est appelé entre guillemets «le Sahara occidental» mais aussi sur «le Sahara oriental»», a-t-elle précisé, mercredi 22 février, lors de son passage au Forum de la MAP.
L’historienne a souligné que les documents officiels, portant sur les liens entre la monarchie et les chioukhs de l’ensemble du Sahara, «existent en nombre importants dans les Archives Royales. Ils sont d’ailleurs mis à la disposition des chercheurs pour les examiner et les étudier», a-t-elle précisé. Mme Simou a révélé que la direction des Archives Royales s’est procurée des documents sur le Sahara (occidental et oriental) de pays européens.
Qu’il commence à libéré sebta et Melilla après on verra son rêve, des turpitudes comme celle ci on a entendu depuis que le Maroc avec a sa tête en commencé a apparaître sur la géographie nord Africaine ,il est tellement petit et invisible que même avec une loupe on ne le voit pas, bien sûr avec homo 6 a la tête les marococo racontent des histoires a rire.
Septa et melilla deux cartes joker pour faire baisser les frocs des espagnoles quand c’est nécessaire comme nous l’avons fait à Sanchez
Il a fini par reconnaitre le Sahara marocain, l’Espagne est l’ancien colonisateur
Maintenant, que la fin du Polisario et de la plus grande l’arnaque de l’histoire (RASD) se termine par donner la nationalité aux Sahraouis nées avant 1976
Tous les vrais Sahraouis séquestrés dans les Camps de Tindouf la marocaine quitteront et il resterait seulement les mercenaires rassemblés de tout le sahel
Deux solutions s’offrent au régime harki d’Alger, soit il leur donne Tindouf ou ils rentrent en guerre
Affaire à suivre