Jeudi, le tribunal de Bir Mourad Rais de la capitale a interrogĂ© l’homme d’affaires, Kamal Sheikhi, dit « Al-Boushi », sur les faits de son implication avec l’ancien maire d’al-Qubba dans la violation des termes des permis de dĂ©molition et l’endommagement injuste d’un immeuble appartenant Ă une citoyenne. En vertu de laquelle le Procureur de la RĂ©publique les a condamnĂ©s Ă 10 ans de prison, pour avoir accordĂ© un avantage indu et violĂ© les règles de construction en dĂ©truisant une partie du bien d’autrui, acceptĂ© un avantage indu et abus de poste.
Ouverture de l’affaire publique contre Kamal Al-Boushi, issue d’une plainte dĂ©posĂ©e par une femme habitant le quartier de la municipalitĂ© d’Al-Qubba dans la capitale auprès des autoritĂ©s de sĂ©curitĂ©, l’accusant d’avoir violĂ© les termes des permis de dĂ©molition qui ont causĂ© de graves dommages Ă son immeuble, avec la complicitĂ© du maire après que l’accusĂ© a obtenu une propriĂ©tĂ© adjacente Ă sa rĂ©sidence, car elle a causĂ© de graves dommages. Elle et sa famille ont Ă©tĂ© contraintes de partir par crainte de son effondrement, après qu’il ait effectuĂ© les travaux de dĂ©molition, ajoutant dans la plainte que l’ancien maire n’a pas bougĂ© le petit doigt, mais a plutĂ´t offert son soutien au profit de l’accusĂ©.
Jeudi, le tribunal a entendu les accusĂ©s par le biais de la technologie du procès visuel sur les faits du dossier, oĂą Kamal Sheikhi a niĂ© les accusations suivies, et a dĂ©clarĂ© avoir obtenu des permis de dĂ©molition et de construction de manière lĂ©gale, et a ajoutĂ© qu’après avoir dĂ©posĂ© son dossier devant la Commission du Guichet Unique composĂ©e de plusieurs membres, qui après Ă©tude de son dossier Cette autorisation lui a Ă©tĂ© accordĂ©e, et le prĂ©venu a exclu toute relation suspecte avec un quelconque fonctionnaire, pour obtenir l’immeuble de 6 Ă©tages.
De son cĂ´tĂ©, l’ancien maire d’al-Qubba « LM » a insistĂ© lors de son procès sur le fait qu’il niait Ă©galement les faits rapportĂ©s par la victime, et a rĂ©futĂ© l’existence de toute relation personnelle ou fonctionnelle entre lui et Al-Boushi, soulignant que il a fait son travail conformĂ©ment Ă ce que stipule la loi, et Sheikhi Kamal n’a rien reçu en retour. Un autre ne l’a pas traitĂ© de prĂ©fĂ©rence et a dĂ©clarĂ© que la plainte est arrivĂ©e un jour après que mon Sheikh Kamal a commencĂ© les travaux de dĂ©molition, oĂą un comitĂ© a Ă©tĂ© dĂ©pĂŞchĂ© pour enquĂŞter sur les faits et mener une inspection sur le terrain, et ses rĂ©sultats ont conclu que Sheikh Kamal n’avait pas violĂ© les termes du permis de dĂ©molition.
D’autre part, la dĂ©fense de la victime a plaidĂ© l’implication des prĂ©venus dans la dĂ©gradation directe de l’immeuble de son client lors de la rĂ©alisation de travaux et de la dĂ©molition de tout un immeuble ancien, dans le but de mener Ă bien une opĂ©ration promotionnelle Ă l’aide d’Ă©quipements vibratoires et au mĂ©pris de l’article 5 de l’immeuble permis, qui a causĂ© des dommages, selon la dĂ©fense, Ă la propriĂ©tĂ© de son client et l’a rendue forcĂ©e de le laisser, et la victime a exigĂ© une indemnisation de 20 milliards de centimes pour l’ensemble des dommages.
Lorsque la dĂ©fense du prĂ©venu a plaidĂ© au cours du procès, ce dernier a rĂ©vĂ©lĂ© que son client Ă©tait un bouillon immobilier, et que son activitĂ© Ă©tait lĂ©gale, et il a Ă©galement achetĂ© la propriĂ©tĂ© pour rĂ©cupĂ©rer la parcelle de terrain construite au-dessus pour rĂ©aliser un autre projet immobilier, ajoutant qu’avant de commencer les travaux de dĂ©molition, il a effectuĂ© une expĂ©rience non judiciaire qui a prouvĂ© que le bâtiment de la victime Ancien et fragile de l’Ă©poque coloniale, traditionnellement construit sur les murs de la propriĂ©tĂ© voisine.

