Rayane Zidane, fils spirituel d’un mythe du foot, rejoint l’équipe d’Algérie U17 ! Une révolution silencieuse orchestrée par la FAF pour réveiller le géant endormi du football africain.
Un « Zidane » en vert ? C’est confirmé : l’Algérie frappe un grand coup !
C’est officiel : Rayane Zidane, 15 ans, pépite du Bayer Leverkusen et héritier du célèbre nom, portera désormais le maillot de l’Algérie. Un choix fort, symbolique et historique. Ce n’est pas juste un recrutement, c’est un message : le football algérien est en pleine résurrection. Sous l’impulsion d’Ali Moucer, la Fédération algérienne (FAF) change de cap. Exit les années d’échec, place à une génération nouvelle, connectée, ambitieuse et prête à faire vibrer les Fennecs.
Pourquoi ce choix est bien plus qu’un simple transfert ?
Zidane, c’est plus qu’un nom. C’est un mythe, un prestige, une histoire liée à la terre algérienne. En voyant Rayane Zidane dire oui à l’équipe U17 algérienne, c’est tout un peuple qui retient son souffle. À 15 ans, ce milieu offensif élégant, formé en Allemagne, est déjà considéré comme l’un des grands espoirs européens. Son engagement est un signal fort : l’Algérie redevient une terre attractive pour ses talents de la diaspora. Mais ce coup de théâtre n’arrive pas seul…
Une stratégie de reconquête bien huilée
Depuis quelques mois, la FAF opère un virage radical. Objectif : reconstruire ses équipes de jeunes en attirant les meilleurs profils algériens évoluant en Europe. Le résultat est bluffant. Zayed Bettache, 18 ans, ailier de Birmingham City, a déjà donné son accord. Benjamin Yousfi, 15 ans, colosse défensif du Vejle Boldklub (Danemark), a choisi l’Algérie malgré ses débuts avec les U16 danois. D’autres noms suivront. La machine est lancée. Ces jeunes, nés en Europe mais liés par le sang à l’Algérie, deviennent les nouveaux visages de la reconquête.
Une revanche sur l’oubli ?
Pourquoi maintenant ? Parce que l’Algérie ne veut plus regarder les grandes compétitions à la télé. Après plusieurs éliminations précoces, notamment chez les U20 et U17, la pression était immense. Il fallait réagir, vite. Et intelligemment. En misant sur une génération binationale, souvent courtisée par d’autres sélections, la FAF renverse la tendance.
“Nous devons redevenir compétitifs. Le talent est là, il suffit de tendre la main” — Ali Moucer, DTN FAF
Et ça marche. Le Paradou AC, pilier local de la formation, complète ce chantier en interne.
L’Algérie bientôt sur le toit de l’Afrique ?
Les ambitions sont claires : former une équipe redoutable, puissante, jeune et motivée. Avec des profils européens sur le terrain et une identité algérienne dans le cœur, cette génération pourrait tout changer. La FAF vise loin : CAN U20, CAN U17, Coupe du monde junior. Et pourquoi pas rêver plus grand ?