Alors que les rumeurs l’envoyaient au Zamalek, Youcef Belaïli ne bougera pas ! L’ES Tunis dément catégoriquement et verrouille son joyau algérien jusqu’en 2026. Les détails !
L’ES Tunis sort du silence : “Aucune négociation, aucun départ”
C’est une bombe que la direction de l’ES Tunis vient d’éteindre… avant qu’elle n’explose. Ces derniers jours, la rumeur d’un transfert imminent de Youcef Belaïli vers le Zamalek faisait trembler les réseaux sociaux et les plateaux sportifs maghrébins. Mais le club tunisien a tranché net : pas question de céder sa star.
« Le Zamalek ne nous a jamais contactés. Il n’y a eu aucune discussion. Belaïli reste avec nous, point final », a déclaré Walid Guerfala, porte-parole de l’Espérance, dans une déclaration sans équivoque.
Un démenti ferme, qui calme les spéculations… mais relance les débats. Pourquoi Belaïli fait-il autant saliver le continent ? Et pourquoi l’ES Tunis refuse catégoriquement de négocier ?
Youcef Belaïli, un atout stratégique verrouillé jusqu’en 2026
Il est clair : l’Espérance ne veut pas perdre l’un des joueurs les plus talentueux et imprévisibles du football maghrébin. Belaïli, c’est de l’or en crampons. Son contrat ? Lié au club jusqu’en 2026. Sa forme ? En nette progression. Son retour en sélection ? Un signal fort.
« Belaïli est engagé à 100 % avec le club. Nous comptons sur lui pour nos objectifs nationaux et continentaux », insiste Guerfala.
Statistique choc : lors de ses 10 derniers matchs avec l’ES Tunis, Belaïli a été impliqué dans 9 buts, prouvant qu’à 32 ans, il reste un poison pour les défenses adverses.
Une fausse piste qui fait du bruit… mais qui révèle un malaise ?
Pourquoi le nom du Zamalek revient-il avec insistance ? Parce que les clubs du Golfe et d’Égypte rêvent encore de Belaïli, malgré ses hauts et ses bas. Mais l’ES Tunis, revancharde sur la scène africaine, n’a pas l’intention de céder sa pièce maîtresse.
Et pourtant… une question dérange : le joueur pourrait-il forcer un départ en cas d’offre alléchante cet été ? Le mercato approche, les regards se braquent déjà sur Tunis. Son retour chez les Fennecs en mars dernier n’est pas anodin. Vladimir Petkovic le rappelle, signe d’un retour au sommet. Le message est clair : Youcef Belaïli n’a pas dit son dernier mot.