L’absence des autorités et du président de la FAF lors de l’enterrement de Walid Bouaziz, jeune supporter du MC Alger décédé lors d’un match, a suscité de vives réactions et questionne la gestion de la sécurité dans le football algérien.
Une absence remarquée et critiquée lors de l’enterrement de Walid Bouaziz
Le décès tragique de Bouaziz, jeune supporter du MC Alger, lors du match opposant son équipe à l’US Monastir, a profondément ému la communauté du football algérien. Son enterrement, qui a rassemblé supporters, amis, joueurs du MC Alger et de nombreux fans de clubs rivaux, s’est toutefois déroulé sans la présence des autorités sportives et du président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi.
Un manque notoire de solidarité
Ce manque de représentation a été perçu comme un manque de solidarité envers la famille du défunt et la communauté footballistique. Bouaziz, simple passionné de football, a perdu la vie dans des circonstances tragiques qui auraient dû mobiliser les instances dirigeantes, tant pour apporter un soutien moral que pour démontrer leur engagement envers la sécurité dans les stades.
La responsabilité des autorités et le besoin de changements
Le décès de Bouaziz soulève des questions sur la gestion de la sécurité lors des événements sportifs en Algérie. L’excès de zèle des responsables de la sécurité lors du match MC Alger – US Monastir semble être un facteur clé dans cette tragédie. L’absence des autorités lors de l’enterrement renforce le sentiment de déconnexion entre les dirigeants et les supporters. Il est crucial que la FAF et les autorités réévaluent leurs engagements et travaillent à restaurer la confiance des fans, en montrant leur solidarité dans des moments aussi douloureux.