Covid-19Face à la situation épidémiologique qui s’est améliorée depuis quelques semaines, le gouvernement algérien a décidé d’alléger les conditions pour voyager dans notre pays cela à parti de ce mois de mars. Nous vous en disons plus à travers ce numéro de ce 24 mars 2022
En Algérie la courbe transcendante des cas de contaminations au coronavirus se poursuit depuis près d’un mois. Elle se situe désormais sous la barre des 20 cas quotidiens. À cet effet, les autorités algériennes ont, récemment, opté pour un allégement des conditions pour voyager en Algérie.
Effectivement, suite à ces chiffres rassurants par rapport au coronavirus, la politique sanitaire de notre pays a connu des assouplissements. À cet égard, le gouvernement a modifié les conditions d’entrée vers le territoire national. Ces changements comprennent aussi une atténuation du dispositif de prévention en vigueur. Cela dans les ports, les aéroports et les postes frontaliers terrestres.
Dans les détails, les personnes vaccinées pourraient à présent entrer en Algérie en présentant un pass vaccinal de moins de 9 mois. Pour les voyageurs non vaccinés, cette catégorie devrait présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures, au lieu de 48 heures. L’obligation d’effectuer un test antigénique à l’arrivée est supprimée. À noter que ces nouvelles mesures sont entrées en vigueur à partir du 20 mars dernier.
Conditions de retour assouplies : la diaspora soulagée
On note que la diaspora a accueilli la nouvelle avec beaucoup de ralentissement. Il faut dire que cela fait plusieurs mois qu’elle réclamait la levée partielle des conditions d’entrée au pays. D’autant plus que le mois de Ramadan et la saison de l’été approchent à grand pas.
Signalons que les périodes durant lesquelles de nombreux algériens établis à l’étranger ont préféré prendre le chemin de retour vers leur pays d’origine. Cela afin de passer des vacances auprès de leurs familles. Mais, à présent, les règles sont claires et mises fin à toute confusion. C’est un léger assouplissement des restrictions d’entrée sur le sol attendu par les familles séparées dues à la crise sanitaire.