Le ministère libyen des affaires féminines a démenti les rumeurs circulant sur le site de réseautage social concernant la délivrance d’une décision qui équivaut entre les femmes et les hommes en matière d’héritage, commentant l’expression « Dieu nous en garde » sur l’affaire.
Des sources du même ministère ont révélé aux journalistes du service d’enquête du site « France Presse » qu’une décision qui équivaut à la répartition de l’héritage entre hommes et femmes », attribuée à la ministre d’Etat à la Condition féminine libyenne, Intisar Abboud, est incorrect.
L’une des pages Facebook connue sous le nom de « Libya Foundation in Al Alali » avait publié en urgence ce qui a ensuite été diffusé : « Ministre de la femme dans le gouvernement de M. Bashagha : j’apporte de bonnes nouvelles à toutes les femmes libyennes, avec mon accord avec le président de rendre une décision sur la répartition égale de l’héritage entre les hommes et les femmes, comme c’est le cas dans tous les pays développés.
Sur sa page Facebook, la ministre d’État aux Affaires féminines du gouvernement libyen a démenti ce qui avait circulé concernant l’ouverture par son ministère de discussions pour rendre une décision sur la répartition équitable de l’héritage.
Et elle a poursuivi : « Dieu nous en préserve, si moi ou toute autre femme libyenne prenions une telle décision, ou même simplement discutions ou approfondissions des questions religieuses et des limites de Dieu. »
Intissar a estimé que ces rumeurs « ne déforment pas sa personne, mais sont plutôt une déformation et une agression contre chaque femme libyenne et une déformation de sa réputation dans son pays et à l’étranger.