Nabil Neghiz, l’adjoint de Vladimir Petkovic, s’est exprimé lors d’une interview sur la Radio Nationale, évoquant la première trêve de mars de l’équipe algérienne. Il a abordé les matchs contre la Bolivie et l’Afrique du Sud, tout en projetant les prochains défis pour le mois de juin.
Défis initiaux et adaptation
Neghiz a dévoilé les défis rencontrés lors des premiers pas de l’équipe sous Vladimir Petkovic. Il a souligné les obstacles initiaux dus notamment à la barrière linguistique. « Pas facile de faire une évaluation car tout était nouveau, de nouveaux joueurs, un nouveau staff, de nouveaux employés de la logistique, staff médical nouveau, même les administrateurs étaient nouveaux, un stage de 10 jours environ. Il y a eu 7 séances d’entraînement, 4 ou 5 séances vidéo, c’était pour mieux se connaître », a-t-il partagé.
Surmonter la barrière de la langue
La communication a été entravée au départ en raison de la barrière linguistique, rendant les interactions complexes, notamment lors des premières conférences de presse. Cependant, Neghiz a noté une amélioration progressive de la communication au sein de l’équipe. « Au départ, c’était compliqué notamment à cause de la langue, mais au fil des jours tout est rentré dans l’ordre, une osmose est née entre les membres du staff et même avec les joueurs », a-t-il expliqué.
Intégration de la vision de Vladimir Petkovic
Vladimir Petkovic a également œuvré à intégrer sa vision et sa méthodologie au sein de l’équipe. En exposant son projet de jeu lors de réunions avec les joueurs, il a favorisé une meilleure compréhension de ses attentes. « Il y a eu des individualités, un jeu collectif, certes c’est prématuré, mais le coach a fait des réunions à propos du projet de jeu, il y a eu une assez bonne interactivité entre les deux parties », a révélé son adjoint. En somme, l’équipe algérienne se prépare pour les prochains défis contre la Guinée et l’Ouganda en juin, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.