La Fédération Algérienne de Football (FAF) est sur le point d’annoncer le nom de son nouveau sélectionneur, lors de son Bureau Fédéral ce mercredi. Toutefois, malgré la préférence initiale pour Vladimir Petkovic, d’anciens désaccords persistent, pouvant compromettre sa nomination.
Négociations avec Vladimir Petkovic : Désaccord sur le salaire
Le premier point de friction concerne le salaire de Vladimir Petkovic. Initialement, la FAF a proposé un salaire mensuel de 100 000 euros, une offre jugée insatisfaisante par l’entraîneur bosniaque. Petkovic a contre-proposé avec une demande de 120 000 euros par mois. La fédération, confrontée à des contraintes budgétaires, a réduit son offre, entraînant un blocage dans les négociations.
Divergences sur les clauses contractuelles
Le second obstacle réside dans les exigences contractuelles spécifiques avancées par l’avocat de Petkovic. Ces clauses, probablement liées aux aspects juridiques et contractuels, n’ont pas été acceptées par la FAF. Les discussions ont été compliquées par la position ferme de l’avocat, qui cherche à défendre au mieux les intérêts de son client.
Que retenir ? Malgré l’urgence de la situation pour la FAF, les négociations avec Vladimir Petkovic semblent au point mort. Les désaccords persistants, tant sur le plan financier que contractuel, rendent incertaine la nomination du nouvel entraîneur. La possibilité d’explorer d’autres options reste sur la table, même si Petkovic demeure le favori initial. La FAF doit désormais décider de la meilleure voie à suivre pour assurer la stabilité et la réussite de l’équipe nationale algérienne.