Alors que Vladimir Petkovic, le nouveau sélectionneur national, dévoile sa liste de joueurs, une question émerge : son mode opératoire ressemble-t-il à celui de Vahid Halilhodzic ? Sa nomination intervient dans un contexte délicat avec des enjeux cruciaux à court et moyen termes pour El-Khadra. Cette nouvelle approche peut être le déclic tant attendu, mais elle suscite aussi des inquiétudes pour l’avenir de l’équipe nationale.
Algérie : Vladimir Petkovic face aux défis de la sélection
Vladimir Petkovic lui-même a admis les défis auxquels il est confronté : « Il n’a pas été facile pour moi de choisir des joueurs. Je ne les connaissais pratiquement pas pour certains. J’ai besoin d’élargir ma vision. D’où les 31 joueurs ». Cette déclaration révèle son manque de certitudes et son désir d’évaluer de près l’état de l’équipe. Cependant, il n’a pas hésité à se passer de certains joueurs influents, rappelant le précédent avec Halilhodzic.
Un parallèle avec les choix de Halilhodzic
La décision de Vladimir Petkovic rappelle celle de Halilhodzic qui avait également exclu des joueurs majeurs comme Karim Ziani, Antar Yahia et Nadir Belhadj. La politique de Halilhodzic avait porté ses fruits grâce à la découverte de nouveaux talents. Ainsi, le défi de Petkovic consiste à trouver des substituts fiables pour les joueurs absents.
L’importance de gérer le changement avec précaution
Oser le changement est essentiel, mais il doit être géré avec précaution. Considérer le contexte et les capacités réelles des remplaçants est crucial pour que cette transition réussisse. La thérapie de choc doit être appliquée de manière réfléchie pour assurer la stabilité et la performance de l’équipe nationale algérienne dans les compétitions à venir.