Initialement prévue pour début mai 2023, puis repoussée au mois de juin, la visite du président Abdelmadjid Tebboune en France est confrontée à des obstacles majeurs, laissant planer un doute persistant sur la tenue de cet événement diplomatique.
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a, lors d’une entrevue avec la journaliste algérienne Khadija Benguenna sur la plateforme Atheer d’Al Jazeera le mercredi 27 décembre, évoqué des préparatifs en cours, tout en confessant que « sincèrement, les conditions de cette visite ne sont pas propices ».
Les Cinq dossiers explosifs
La visite présidentielle en France est tributaire de la résolution préalable de cinq dossiers complexes, dont la nature explosive crée un climat diplomatique tendu :
- Mémoire : Gestion délicate des questions historiques.
- Mobilité : Émigration et ses implications.
- Coopération Économique : Enjeux économiques non résolus.
- Essais Nucléaires : Reconnaissance des dommages et indemnisation pour les essais dans le Sahara.
- Restitution d’Objets Historiques : Refus français de retourner l’épée et le burnous de l’émir Abdelkader.
Le ministre Attaf a révélé que les autorités françaises ont rejeté la restitution des objets historiques, arguant la nécessité d’une loi.
Dans le cas des essais nucléaires, l’Algérie demande reconnaissance et indemnisation pour les retombées radioactives avérées des essais effectués entre 1960 et 1966.
Ainsi, malgré l’anticipation d’une détente diplomatique, la visite de Tebboune en France semble compromise, renvoyée aux « calendes grecques » dans l’attente de résolutions délicates. Une affaire à suivre de près alors que la diplomatie entre les deux nations reste en suspens.
C’est mieux pour lui et pour les immigrés, 1er s’il serait venu en France il raconterait des conneries et aggravé des problèmes pour les émigrés surtout qu’il n’a aucune connaissance au langage politique,et 2em ou la France est raciste a 80olo il aurait arrangé les fachos et les sionistes pour qu’ils vident leurs venins sur les résidents algériens, Dieu merci.