Le président Abdelmadjid Tebboune a déclaré que l’Algérie était la première victime de la déstabilisation au Mali.
Dans une déclaration au podcast d’Al Jazeera, Tebboune a confirmé que l’Algérie n’accepterait aucune décision de diviser le nord et le sud du Mali et serait à l’affût de ceux qui s’opposent à la stabilaité du Mali.
J’ai informé le président français Emmanuel Macron que la position de l’Algérie sur le Mali n’est pas celle de la France. Dans le même contexte, le président a déclaré que la vision de l’Algérie est économique et sociale, contrairement à la France qui cherche des solutions.