A l’instar de l’Iran, de la Syrie ou de la Corée du Nord, l’Algérie de Tebboune semble se dirigé tout droit dans une politique isolatrice du monde. Ce constat n’est ni une vue de l’esprit issue d’une méconnaissance hasardeuse de la situation ni une exagération dans l’analyse. Il est simplement le fruit d’une observation critique.
Et oui le régime algérien est en train de brûler toutes ses relations internationales. Avec le Maroc l’on parle d’une rupture le Maroc structurelle. En outre tous les choix du régime algérien sont dictés par la seule défiance à l’égard du voisin marocain. Quant à la France, l’observe un pas en avant, dix pas en arrière comme vient de le montrer la décision de rapatrier pour consultation l’ambassadeur algérien à Paris. Sur fond de l’affaire Amira Bouraoui, le régime algérien est monté sur ses grands chevaux pour menacer la France de rupture et de représailles. Mieux Alger a provoqué une sourde crise avec la Russie. En jeu, des manœuvres militaires communes clandestines avec les soldats de Vladimir Poutine à la frontière avec le Maroc. Sous pression de Washington qui menaçait de sanctionner le régime, Alger a dû s’engager auprès des autorités américaines d’annuler ces manœuvres.
Devant ses comportements et ses choix agressifs, le régime algérien est en train de devenir en soi un facteur de défiance et d’instabilité régionale. Son alliance assumée avec un autre pays banni par la communauté internationale, l’Iran, est de nature à susciter toute sorte de méfiance qu’elle soit d’origine arabe européenne ou américaine. L’influence croissante du régime iranien sur les cénacles politiques et militaires algériens est source de préoccupations et d’angoisse internationale. Comment si cette crise ne suffisait pas le Pouvoir Tebboune s’est enlisé dans une crise économique aux conséquence fâcheuse avec l’Espagne toujours à cause du Maroc. Ne parlons même d’Israël qui est l’un des ennemie d’Alger
Bref, sur fond de cette crise de confiance avec la communauté internationale, notons que le chef de L’Etat Abdelmadjid Tebboune est actuellement à la recherche d’un second mandat et demande pour cela l’aide, notamment de la France. Il est fort à parier que les puissances qui s’apprêtent à fournir une aide politique à ce régime Tebboune et lui garantir les conditions d’une régénération doivent prendre en considération les risques de tensions et de rupture qu’une telle continuité implique.
Tebboune apprend a joué au capricieux un peu semblable à homo6 , il apprend, petit a petit l’oiseau fait son nid, personne n’aime les algériens, par contre ils aiment l’Algérie et ses richesses et puis vraiment est ce qu’il existe un pays qui aiment l’autre,en politique c’est les affaires qui compte et puis le soir chacun rentre chez soi.