Le président de la France, Emmanuel Macron, a pris une décision significative en interrompant l’octroi des visas de type D aux citoyens algériens. Cette mesure a des répercussions importantes sur les interactions entre la France et l’Algérie.
Origine de la mesure et mise en application
Dans une correspondance à son Premier ministre, Macron a détaillé des initiatives focalisées sur les questions de visas en s’appuyant sur l’article 47 d’une récente législation sur l’immigration. Cet article introduit un mécanisme national qui permet de rejeter les visas de court séjour à certaines catégories de passeports et de long séjour pour tous les demandeurs.
Conséquences pour les étudiants et les entreprises
Cette suspension a posé la question de l’impact sur les étudiants algériens souhaitant poursuivre leurs études en France, étant donné que le visa de long séjour est généralement requis pour cette catégorie et d’autres, telles que le travail ou des motifs familiaux. De plus, la décision pourrait également influencer les sociétés françaises en Algérie, en réduisant leur capacité à amener des employés entre les deux pays.
Impact potentiel sur la mobilité internationale
Avec une réduction déjà constatée des visas Schengen pour les Algériens ces dernières années, cette nouvelle mesure risque d’accentuer les difficultés de mobilité, affectant à la fois les projets individuels et les opérations commerciales transnationales.